Ingenieur-e en Cytométrie H/F

Pour réussir dans ce poste, il est important de posséder les compétences suivantes :

• Maîtrise des techniques de cytométrie : Cytométrie en flux, tri cellulaire (FACS), immunomarquage.

• Connaissances biologiques solides : Immunologie, biologie cellulaire, cancérologie, hématologie.

• Utilisation de logiciels spécialisés : FlowJo, FACSDiva, Kaluza, etc.

• Capacités d’analyse et de synthèse : Interprétation des profils cellulaires complexes.

• Compétences relationnelles : Accompagnement des chercheurs, formation et assistance technique.

• Autonomie et rigueur : Suivi des protocoles, maintenance des appareils, gestion de la qualité.

Les missions de l’ingénieur-e en cytométrie incluent généralement :

• Préparation et acquisition d’échantillons : Marquage des cellules et passage au cytomètre.

• Analyse et interprétation des données : Identification de sous-populations cellulaires, expression de marqueurs.

• Tri cellulaire : Séparation de populations d’intérêt pour des applications en recherche ou en diagnostic.

• Maintenance des équipements : Entretien et calibration des cytomètres, résolution des pannes.

• Formation et accompagnement : Encadrement des utilisateurs, assistance technique et conseil.

• Veille technologique : Suivi des évolutions techniques dans le domaine de la cytométrie et des réactifs.

Le métier d’ingénieur-e en cytométrie nécessite une formation en sciences de la vie et une spécialisation technique :

• Master : Biotechnologies, Biologie cellulaire, Immunologie, Bio-informatique.

• Écoles d’ingénieurs : Filières Biotechnologies ou Génie biologique.

• Formation complémentaire : Certification ou spécialisation en cytométrie (ex. via le réseau français de cytométrie ou des fournisseurs comme BD, Beckman Coulter).

Le salaire d’un ingénieur en cytométrie dépend de l'expérience, du type de structure (publique ou privée), et de la spécialisation :

• Débutant : Environ 2 800 € brut par mois.

• Confirmé : Environ 3 500 € brut par mois.

• Sénior : Jusqu’à 4 500 € brut par mois.

Dans le privé, notamment dans les biotechs ou laboratoires pharmaceutiques, les salaires peuvent être revalorisés avec des primes de performance ou d’ancienneté.